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Hors de moi

Hors de moi

« Le discours de la maladie est presque toujours négatif, discours de la restriction et du renoncement. 

Mais au contraire, elle accélère l’existence, exalte et excite. »

Claire Marin 

Hors de moi est un seule en scène sur l’expérience intime de la maladie, cette forme de vie qui intensifie l’existence.

La maladie, qui oblige à se poser tout de suite les questions que nous nous posons tou.te.s un jour. 

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Quelle place donner à une spécificité, à une « anormalité » dans son corps, dans son identité ?

Comment se (re)construire après une épreuve ?

Comment transmettre cette expérience quand le langage est trop pauvre ?

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Adaptation scénique de l’ouvrage Hors de moi de Claire Marin, le spectacle raconte deux histoires : celle de l’auteure et celle de l’interprète, toutes deux atteintes d’une maladie chronique. Il est aussi nourri de témoignages de résident.e.s en hôpital. Notre spectacle se veut accessible à tou.te.s (personnes "valides" et personnes "en situation de handicap") à travers le travail théâtral et chorégraphique, la création vidéo, la composition musicale. Malade ou non, cela importe finalement peu.

Equipe

Ecriture : Claire Marin

Dramaturgie : Marie Astier, Simon Gagnage

Interprétation : Marie Astier

Mise en scène et direction d'actrice : Simon Gagnage

Accompagnement chorégraphique : Marcos Arriola

Création lumière : Johanna Boyer-Dilolo

Composition musicale : Julien Roussel

Scénographie : Luciana Bertotto

Création vidéo : Romain Robert

Costumes : CZSC - Clémence Zrida & Simon Cohen

Dates

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Vendredi 9 février 2024 à 20H30 à Valréas (84600) dans le cadre de la programmation du Centre Dramatique des Villages du Haut Vaucluse, scène conventionnée d’intérêt national "Art en territoire".

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Mardi 24 octobre 2023, dans le cadre du festival « Tout feu tout femme » organisé par l’association Les Carrés (74941, Annecy) 

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Jeudi 1er décembre 2022, l'Ouvre boite, Université Grenoble Alpes, 38400 Saint-Martin-d'Hères

Du 28 novembre au 21 décembre 2021 (dimanches, lundis et mardis à 19H00), Les Déchargeurs, 75001 Paris

Lundi 17 novembre à 20h00 2021, Espace Palumbo, 31240 Saint-Jean

Lundi 17 novembre à 12h30 2021, la Fabrique/UT2J, 31058 Toulouse, en ouverture des journées "handifac". Bord plateau visible ici

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Le 15 octobre 2020 à 17h00, en clôture du colloque "Art Handicap Altérité" organisé par CY Cergy Paris Université, 92230 Gennevilliers.

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Les 17 (à 19h), 18, et 19 décembre (à 20H30) 2019, Ecole Normale Supérieure, 75005 Paris

Le 30 novembre (20h45) et le 1er décembre (16h) 2019, Théâtre Le Grenier, 78380 Bougival

Le 7 septembre 2019 à 14h, Le Lavoir Moderne Parisien, dans le cadre du Festival Les Floréales Théâtrales, 75018 Paris

Le 14 février 2019 à 20H30, Gare au Théâtre, dans le cadre du Festival Ecritures du Réel, 94400 Vitry-sur-Seine

Dossiers

HOSTO

Hosto

 

UrgenceHGrey’s AnatomyDoctor House… : autant de séries centrées sur des figures de soignant.e.s charismatiques et sur de croustillantes anecdotes de couloirs d’hôpitaux. Qu’en est-il de l’expérience des patient.e.s ? Comment voient-ils l’hôpital, depuis leur lit médicalisé ? 

Atteinte d’une maladie génétique diagnostiquée à 18 mois, Marie Astier fréquente l’hôpital depuis son plus jeune âge. Elle le connaît par cœur. Devenue comédienne et metteure en scène, elle a décidé d’en faire un thème de spectacle. C’est ainsi que sont nés les différents personnages d’HOSTO, inspirés de la patiente qu’elle a été et des situations qu’elle a vécues à divers âges de sa vie.

 

Dans HOSTO, le lit ne bouge pas : ce sont les murs autour qui se déplacent, pour figurer un espace tantôt réel, tantôt mental. Dans HOSTO, l’hôpital est l’expérience d’un autre rapport au temps (qui semble s’écouler beaucoup plus lentement qu’à l’extérieur), à l’espace (impression d’isolement et d’enfermement, recours à l’imagination) et aux individus (moins nombreuses, les relations humaines y sont plus intenses). Dans HOSTO, l’hôpital est un concentré d’humanité.

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Écriture, mise en scène et interprétation : Marie Astier, Chloé Gogniat, Maxime Migné (en alternance avec Nicolas Luboz). 

Scénographie (réalisation) : Chloé Gogniat et Simon Anquetil

Musique : Floriane Dardard

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Accompagné d’une importante démarche de médiation, ce spectacle a été joué dans des lieux artistiques et culturels, dans des structures de santé et dans des établissements d’enseignement supérieur. 

11 au 13 avril 2014 : Théâtre de l'École Normale Supérieure (75005). 

Le 28 novembre 2014 : Théâtre de l’ENS (75005), version sur-titrée avec table ronde traduite en LSF : « la relation soignant-soigné : trouver la juste distance » (http://savoirs.ens.fr/expose.php?id=1929)  

14 avril au 9 mai 2015 :  Théâtre des Déchargeurs (75001) 

9 juin 2015 : Hôpital Necker (75015) –  journée « Éthique et bientraitance ».

8 mars 2016 : Université de Saint Quentin en Yvelines (78180) - action de sensibilisation au handicap 

1er décembre 2016, Congrès de néphrologie (75015)

VIEH

VI(e)H

Une coproduction Compagnie En Carton / TOTEM RÉCIDIVE

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Vous pensez tout savoir sur le sida ? Vous êtes incollable sur les comportements à risques, les moyens de se protéger, les possibilités d’être dépistés ? Mais que connaissez-vous de l’histoire de cette maladie ? De celles et ceux qui l’ont vécue et qu’on ne raconte ni dans les fascicules de prévention ni dans les cours d’éducation sexuelle ?

Vi(e)H retrace l’histoire de ce « cancer gay » devenu rétrovirus HIV. Ce spectacle rappelle cette génération d’hommes gays et d’auteurs emportés : Hervé Guibert, Jean-Luc Lagarce, Larry Kramer, William Hoffman… Hommes politiques, militants, journalistes : qui ne s’est pas exprimé sur l’épidémie du siècle ? Alliés ou détracteurs, nous avons choisi de ne pas isoler une seule voix, mais de croiser les récits pour rendre compte de la dimension intime et politique de cette maladie. Entre 1981 (dépénalisation de l’homosexualité) et 1996 (arrivée de la trithérapie), Vi(e)H relate quinze années noires emplies de morts, de deuils, mais aussi de luttes et d’espoirs. De situations glaçantes en réappropriations comiques.  De rêveries poétiques en contenus médiatiques bruts, documentaires. 
« Silence = Mort ! Action = Vie ! ». VI(e)H. 

 

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Interprétation : Marie Astier, Thomas Bouyou, Ulysse Caillon, Juliette Drigny, Charles Dunnet, Millie Duyé, Roxane Sauvage, Pauline Rousseau. 

Avec des textes (inspirés) de : Copi, Hervé Guibert, William Hoffman, Bernard-Marie Koltès, Tony Kushner, Jean-Luc Lagarce, Mark Lowes Fisher…

Mise en scène : Pauline Rousseau 

Dramaturgie : Ulysse Caillon

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Crée à l’École Normale Supérieure en lien avec une journée d’étude sur le thème du sida, Vi(e)H a ensuite gagné le prix du jury lycéen du Festival Nanterre sur Scène puis a été programmé au Festival Trait d’Union.

15 et 16 avril 2016 : Salle d’Expression Artistique de l’ENS (75005)

9 décembre 2016 : Université Paris Ouest Nanterre la Défense (92000) - Festival Nanterre sur Scène

21 et 22 janvier 2017 : Théâtre El Duende (94200) - Festival Traits d'union. 

AUTRES

Bitume et Sarbacanes

D'après Sa Majesté des mouches de William Golding

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Faut-il nécessairement des règles pour vivre ensemble ? Comment les choisir ? Qu'accepte-t-on en échange de la liberté, de la sécurité, de la hiérarchie qui nous rassure ? Quel contrat peut-on décemment passer entre celui qui prend le pouvoir et celui qui le laisse ? 

Par accident, un groupe d’enfants se retrouve seul sur une île déserte, sans adultes. Pour organiser leur survie, ils refondent une société malgré leurs divergences. Ils ne tardent pas à inventer leurs propres jeux et rituels, qui les unissent face à l’étrangeté de l’île. L’univers romanesque de l’enfance a été pour nous une véritable opportunité théâtrale, qui nous a obligé à repenser les formes conventionnelles de la représentation. L’imaginaire côtoie souvent le sacré, et la poésie navigue parfois en terre cruelle. Nous sommes amenés, et le public avec nous, à bousculer les frontières entre théâtre et danse, entre mime et mot. Dans Bitume et Sarbacanes, il s’agit de considérer le groupe dans ses paradoxes les plus intimes, de mettre en scène l’énergie collective et sa démesure, la sauvagerie qui peut surgir d’une telle situation. Fondamentalement, ce spectacle interroge notre aptitude à vivre ensemble, ou pas…

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Adaptation et mise en scène : Clio Meyer, assistée de Manon Worms

Interprétation : Marie Astier, Damien Burle, Basile Despland, Natàlia Dorlitz, Michael Gaastra, Julia Göhler

Ce spectacle a été joué exclusivement en plein air dans des lieux culturels associatifs 

12 août 2016 : Grange du Clos Ambroise (13140)

13 août 2016 : Café villageois de Lauris Au Maquis (84360)

9 octobre 2016 : Bois Dormoy (75018)

L'Étrange Théâtre

 

Qui n’a pas déjà été victime de la publicité ? Les produits qu’on cherche à nous vendre ne sont-ils pas à ce point merveilleux qu’ils ne peuvent - en fin de compte - que nous décevoir? Sommes-nous vraiment dupes ? Pourquoi acceptons-nous de nous laisser berner ? 

Écrit à quatre mains par Agnès Curel et Marie Astier, l’Étrange théâtre d’Erasme Atia et Sarnec Glue reprend la tradition des bonimenteurs, depuis leur origine forraine jusque dans leurs déclinaisons contemporaines : quand le bonimenteur cherchait à attirer le badaud dans son entre-sort en promettant mille merveilles, le publiciste d'aujourd'hui vous persuadera de la nécessité d'acquérir un produit dont vous n'avez absolument pas besoin.

 

Erasme Atia et Sarnec Glue sont deux savants clownesques qui, à grand renfort de formules-chocs et de blagues (douteuses), incitent les « damoiselles et les damoiseaux » à entrer dans leur étrange théâtre où ils leur présentent de véritables prodiges tels l’incroyable Plantikéa, la magnifique F-E-M-M-E ou l’énigmatique Luxphallor ! C’est avec grand plaisir que le public accepte de se laisser embobiner et de croire – le temps d’un spectacle – que leur quotidien est rempli d’objets d’extraordinaires, qu’un vulgaire aspirateur est bel et bien un horrible « ratatapoum » qui se nourrit sans vergogne de chaussettes sans défense.

 

Écriture, mise en scène et interprétation : Marie Astier (Erasme Atia) et Agnès Curel (Sarnec Glue)

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En cohérence avec la tradition foraine dont il est inspiré, ce spectacle facilement transportable et adaptable a été joué dans des lieux plus improbables les uns que les autres : salles de spectacle ou d’exposition, universités, écoles, maisons, appartements…

6, 7, 9 février et 17 mai 2014 : Salle d’Expression Artistique de l'ENS (75005)

4 mars 2014 : chez un particulier

8 mars 2014 : École Polytechnique (91128)

12 juin 2014 : Collège Paul Eluard (77130)

19 et 20 décembre 2014 : Laurette Théâtre (75010)

4 mai 2015 : Salle d’Expression Artistique de l'ENS (75005) - Journées "Découvrir la littérature" sur le thème "Monstres et merveilles". 

6 juin 2015 : Réfectoire des Cordeliers (75006) – Exposition "Chers objets" organisée par le collectif Tridécagone. 

17 octobre 2015 : chez un particulier

Les Fabliaux

 

Lorsque, enfant, on vous lisait une fable ou un conte ne trouviez-vous pas que les méchants étaient parfois bien plus fascinants que les gentils ? Qu’ils contribuaient à rendre l’histoire palpitante ? N’étiez-vous pas déçu quand ils se trouvaient condamnés par la morale finale ? Ne vous est-il jamais arrivé, en secret, de la réécrire ?

Or oiez que li fabliaus dit est une adaptation de sept fabliaux médiévaux : Estormi, Le vilain mire, Les trois dames de Paris, Les perdrix, Les tresses, L’enfant des neiges et Le songe des vits. Interprétés par cinq comédiennes, accompagnées de deux musiciennes, la morale de ces fabliaux cocasses, grivois et parfois ouvertement misogynes se trouve quelque peu détournée… Ils racontent l’histoire de prêtres concupiscents, de maris brutaux et de femmes perfides mais disent également que les faibles n'ont souvent d'autres ressources que la ruse et que les apparences sont parfois trompeuses…

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Adaptation, mise en scène et interprétation : Marie Astier, Leslie Cassagne, Juliette Drigny, Roxane Sauvage, Flora Noël (en alternance avec Cécile Chapon) 

Musique :  Lucie Drigny, Violaine Quinchon, Clara Schlaifer

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Joué à de nombreuses reprises à l’École Normale Supérieure, ce spectacle a notamment contribué à faire (re)découvrir la littérature médiévale à des collégien.ne.s, des lycéen.ne.s, des étudiant.e.s ainsi qu’à des universitaires.

Mai et septembre 2013 : Salle d’Expression Artistique de l'ENS (75005), notamment dans le cadre des journées « Découvrir la littérature »

30 et 31 mai 2014 : Salle d’Expression Artistique de l'ENS (75005), notamment dans le cadre du colloque « la vie posthumes des œuvres » organisé par Nathalie Kolbe

26 mars 2016 : Maison des initiatives Étudiantes (75006) - Festival "Bobine et Parchemins" sur le thème "Rire au Moyen-âge"

La Guerre de Troie n'aura pas lieu

 

Comment faire pour éviter la guerre quand les discours l’annoncent, les actions l’appellent, et les signes la confirment ? Cela ne revient-il pas à vouloir se battre contre le destin ? Avec la résurgence du terrorisme, les questions posées par Giraudoux il y a près d’un siècle prennent aujourd'hui un écho particulier.

En 2014, Anaïs Boucher, commissaire de l’exposition « La Grèce des origines, entre rêve et archéologie », a demandé à la Compagnie En Carton de monter La Guerre de Troie n’aura pas lieu.

 

Dans la pièce de Jean Giraudoux, Hélène a accepté de suivre Pâris et la guerre menace d’éclater entre les Troyens et les Grecs. Hector et Andromaque essayent à tout prix de l’éviter, mais leurs tentatives ne trouvent pas l’écho qu’ils espèrent auprès des autres protagonistes : la guerre aura bel et bien lieu.

 

Dans la mise en scène de la Compagnie En Carton, certaines œuvres de l’exposition du Musée d’Archéologie Nationale étaient insérées dans la création vidéo du spectacle et les motifs récurrents des tableaux de l’exposition étaient repris sur les costumes des comédien.ne.s.

 

C’est pourtant pour une autre raison que cette version de la pièce de Giraudoux s’est avérée si particulière : l’attentat de Charlie Hebdo et la prise d’otage de l’hyper-cacher, qui ont eu lieu au moment des dernières répétitions. Nous avons donc joué cette pièce qui montre des personnages prêts à tout pour éviter la guerre en acceptant les échos tragiquement créés, sans avoir peur des parallèles qui, de fait, étaient établis.

Guerre de Troie.jpg

Adaptation et mise en scène : Marie Astier

Interprétation : Agnès Curel, Raïsa Franca Bastos, Baptiste Gillis, Lana Kupiec, Aymeline Lestrat, François Maurisse, Aleksi Moine, Hélène Ollivier, Aurélien Pulice, Luca Terray et Antoine Villard

Création vidéo : Marguerite Pellerin

Costumes : Aymeline Lestrat

 

 

La pièce a été jouée dans deux lieux différents , au MAN et à l’ENS.

Les 15 et 16 janvier 2015, Musée d'Archéologie Nationale (78100)

Les 24 et 25 janvier 2015, l'ENS (75005)

Spéculations

D'après Le Faiseur de Balzac

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Vous avez forcément entendu parler de Bernard Madoff, ce trader américain arrêté en 2008 pour une escroquerie financière s’élevant à plus de 65 milliards de dollars. Mais connaissez-vous M. Mercadet, spéculateur inventé par Balzac dans l’une des rares pièces de théâtre qu’il a écrite ? A deux siècles d’intervalle, les mêmes questions se posent. Comment un individu peut-il se retrouver piégé par sa quête d'enrichissement perpétuel au point d'en perdre tout sens moral, affectif et toute raison ?

En 1840, Balzac écrit Le Faiseur, pièce dans laquelle un spéculateur ruiné est prêt à tout pour recouvrer des fonds. Dans notre version – intitulée Spéculations – le personnage principal n’est plus un homme, mais une femme d’affaires. La tension, présente dans le texte initial, entre le fait de s’enrichir par les manipulations du capital plutôt que par le travail est ainsi renforcée d’une exploration des rapports de force entre hommes et femmes. La scénographie du spectacle est composée de cartons, qui figurent aussi bien la situation financière et sociale des personnages qu’un espace mental transformable. Ils font ressortir la théâtralité inhérente au texte original. Dans Spéculations « Jouer la comédie » est presque une question de vie ou de mort. Pour Mme Mercadet, c’est le seul moyen de différer le moment de payer ses nombreux créanciers, et donc d’être mise à la porte de chez elle, avec toute sa famille.

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Adaptation et mise en scène : Marie Astier

Interprétation : Maryne Beyer, Agnès Boutreux, Lucile Flores, William Fujiwara, Chloé Gogniat et Maxime Migné 

Musique : Floriane Dardard

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Puisque Le Faiseur a été inscrit au programme du concours 2014 de l’ENS au moment où nous montions Spéculations, nous sommes entrés en contact avec les professeurs de diverses classes préparatoires afin d’organiser des représentations spécifiques pour leurs élèves.

18 mai 2013 : Salle d'Expression Artistique de l'ENS (75005) - Festival des "48h des Arts". 

Juin 2013 (9 au 12 puis 24 et 25) : Théâtre de l'ENS (75005) 

Octobre (du 12 au 20) 2013 : Théâtre de l'ENS (75005) 

Janvier 2014 :  lycée Dumont d’Urville (83056) 

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